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---Association des familles des victimes ---du 26 mars 1962 de la RUE D'ISLY à ALGER
7 mars 2013

LIVRE D'OR

Laisser votre commentaire dans la zone réservée à cet effet et nous le retranscriront en suivant. 


josiane

je suis née à Alger, jamais ne j'oublierai, merci


bernadette Malinconi

merci de ces precisions c'est la premiere fois que je vois le film j'etais presente devant la poste avec un grand ami Guy Mazard qui a été assassiné sur les escaliers de cette méme poste mon mari et moi méme n'oublierons jamais


labrano

il faut que toutes les associations de rapatriés vous aident, j'ai visité vos deux sites, le travail que vous faites est considérable. Merci de garder notre Mémoire. josiane LABRANO


Bernard

Que la veritee eclate, que justice soit faite et que la France reconnaisse ses erreurs et ses crimes


quarantes

une armé qui tire sur ses ressortissants, depuis la commune c'est un cas unique en France mais qui n'émeut personne. Il faudra bien qu'un jour la vérité éclate face à un silence assoudissant. Bravo pour votre persévérance


gilles

gilles d' alger mulhouse daguerre a ma compatriote annie cazayous epouse fontas j'étais aussi dans la manifestation avec mes grands parents et ma mère.J'allais a l'école de la rue daguerre ,vous avez du connaitre michele salerio !!!! nous habitions 9 rue de mulhouse ; aujourdhui je suis le seul a pouvoir témoigner ,je n'avais cependant que 10ans. je vis désormais à marseille,alger me manque désormais et je compte y aller enmars 2009 ;avec votre permission annie,je mettrai un petit bouquet de fleurs 11 rue daguerre à la mémoire de jacqueline ;ELLE AIMAIT ET PRATIQUAIT LE BASKET COMME MOI, je pense qu'elle devait etre une jeune fille formidable;j ai parlé recemment avec une de ses anciennes copines


gilles

gilles alger mulhouse daguerre suite pour annie cazayous oui anne marie charraut qui était aussi basketteuse; voilà annie , si vous voulez me répondre j'en serai tres heureux amitiees sincère d'un P.N. gilles


guillaume

j'espère que justice sera faite un jour


Patrick (un des neveux de Jacqueline)

Monsieur Gilles, je tenais à vous remercier pour le geste à l'attention de Jacqueline. Malheureusement Annie nous a quitté, bien trop tôt, et n'aura pas pu en prendre connaissance. Soyez assuré que votre attention touchera extrêmement Simone, leur aînée (et donc ma maman). Cette journée du 26 mars 1962, est une cicatrice qui ne se refermera jamais, néanmoins, celle du 26 mars 2010 m'aura permis un certain apaisement intérieur. A ce titre, je ne remercierai jamais assez, Nicole et les membres de l'association, pour le résultat obtenu. 29/03/2010


mesquida

La cérémonie du 26 mars au quai Branly était vraiment très émouvante, et je suis heureuse d'y avoir participé. Désormais, le nom de ma mère figure sur ce mémorial national, ainsi que la date du 26 mars, jour où elle a perdu la vie. Cette reconnaissance tant attendue est enfin arrivée,48 ans après le drame !! Et cela Grâce aux efforts de l'association des familles des victimes du 26 mars, ainsi que ceux de l'Anfanoma, l'une des rares associations PN à avoir apporté son soutien inconditionnel. Désormais, nul ne pourra ignorer cette date en passant près de ce Mémorial National. Avant cette commémoration, j'ai pu lire les débats négatifs concernant l'affichage du nom des victimes. Ceux qui n'ont perdu personne, ce jour là, à défaut de nous soutenir, comme les nôtres ont soutenu ceux de Bab el oued, devraient au moins avoir la décence de respecter notre décision en faveur de cette première reconnaissance !! Françoise Mesquida


Pierre GERBY

26 mars 2010, 48 ans après, émouvante mais, néanmoins, très belle cérémonie en souvenir et en l’honneur de nos morts. Du Quai Branly à St Nicolas du Chardonnet, tout fut parfait ; merci Nicole Ferrandis, sans qui, rien du devoir de mémoire ou de la reconnaissance nationale n’existerait et n’aurait eu lieu. Quant aux éternels donneurs de leçons de tout bord, je leur conseille, tout simplement de manifester autant d’énergie à l’égard de nos seuls et véritables adversaires, qui, depuis 48 ans, continuent à cracher, sur notre communauté et sur nos victimes que ce qu’ils témoignent à l’égard d’une association qui, elle, non seulement n’oublie rien, ne renie rien mais oeuvre dans le seul bon sens de la vérité et de l’affirmation des responsabilités du pouvoir gaulliste de l’époque ; ce, au titre de tous nos malheurs. Dans ce que j’ai dit, devant les colonnes du Quai Branly, en mémoire de mon Oncle Fernand Gerby, j’ai cité François René de Chateaubriand ; pour compléter mes dires, permettez moi, ici, d’écrire : « le péril s'évanouit quand on ose le regarder ».


Edmée LE LIEPVRE, née BERTHON

De retour chez moi, je tiens à remercier Nicole FERRANDIS et à la féliciter pour la réussite de la cérémonie au Mémorial National quai Branly à Paris : même l'incident technique a contribué à éclairer la détermination de tous les responsables de M Xavier DELARUE, directeur de cabinet du Ministre aux Anciens Combattants au Président de l'ANFANOMA, M. Yves SAINSOT. Les jolis bouquets tout prêts au nom des victimes, les fleurs gracieusement distribuées , les beaux chants du choeur Montjoie Saint Denis auxquels se sont associés les fidèles présents dans le chant des Africains,tout a été réussi et nous a rendus heureux dans cet hommage enfin paisiblement rendu aux victimes pacifiques de ce 26 Mars 1962. Que leur souvenir ne nous quitte pas!


Arlette

Je garde de cette année 2010 le souvenir d’une émouvante cérémonie en hommage à nos morts de la rue d’Isly. C’est la gorge nouée que j’ai vu défiler leurs noms, les années n’apaisent pas la douleur. Je suis de Bab el Oued où j’ai vécu le bouclage, je n’oublierai jamais le courage de toutes ces victimes qui sont tombées pour nous venir en aide. C’est par la radio que nous avons appris qu’une fusillade venait d’éclater à la rue d’Isly, sans avoir plus d’explications. Difficile d’effacer de ma mémoire le cri de désespoir d’un homme qui criait : « halte au feu, halte au feu, mon lieutenant un peu d’énergie ». Qu’avions-nous fait pour mériter ce drame ?


FAGES Guy

Je suis algérois , j' avais 18 ans, jamais je n' oublierai cette horreur.


gilles

cher patrick , je tiens à vous assurer de toute mon amitié ainsi qu'à simone , votre maman et soeur de mon amie Jacqueline ;Soyez sur que tous les anciens amis de Jacqueline ne l'on pas oublié,Nanou Sempere du cours rousselot , Anne marie Charraut de L 'Algeria sport jean claude parez dont la maman était la directrice dla 20th century fox d'Alger ou travaillait Jacqueline et , moi meme de la rue daguerre !!!nous savons q'elle repose au cimetière de Tarbes, et un jour viendra ou nous inrons tous lui rendre l'hommage qu 'elle mérite !!!! j adorais Jacqueline, je ne peux pas parler d'Alger sans parler d'elle ,je connais déjà Stéphanie , la fille d'ANNIE qui est admirable et que j'estime beaucoup !!! pied noir d'un jour , pied noir toujours tout mon soutien et mes pensés les plus affectueuses surtout à Simone , Gilles


rambaud

"je viens d'un pays qui n'existe plus et j'en suis fier" ce 26 mars en début d'aprés midi notre mére nous eméne à la manif de soutien envers bab el oued bouclé et assiégié par les gendarmes et troupes féodée à degaulle. je n'ai que 14 ans, depuis l'âge de 10 ans j'ai été présent dans toutes les manifs et événements se déroulants à alger: le 13 mai, les barricades, le poutch, ma mére passionara de l'agérie française nopus fait vivre tous ces instants importants pour notre pays. c'est la trouille au ventre malgre tout que je me retrouve dans les premiers rangs de la manif sur la place devant la grande poste. devant nous un cordon de soldats français, enfin ce sont tous des musulmans , je me souviens de leur s regards plein de haine envers nous, des cris fusent "ce sont des troupes de l'aln" les pompiers sont au premier rang, la foule pousse, et grossit, le cordon s'étire, et va craquer. nous en profitons pour passer, et entrer dans la rue d'isly, combien sommes nous exactement je ne m'en souviens pas.....alors nous allons marcher en direction de bab el oued, en avancant dans la rue d'isly pratiquement au milieu de celle çi, nous entendons des coups de feu, des rafales de mitraillette, la panique circule, pou nous rassurer des hommes disent" ce n'est rien c'est le bruit des hélicos qui nous survolent"............hésitation doute, nous présentons qu'il se passe un drame sur la place que nous avons quitté il y a peu être un quart d'heure. des grenades lacrymogenes sont lancées dans notre direction , des hélicos, un autre barrage de crs .....alors nous nous dispersons chacun essaie de quitter la rue d'isly, de retourner vers la poste. notre tante habite pas loin un immeuble possédant deux entrée celle d'en bas aboutit dans une petite rue débouchant sur la rue d'isly et celle du haut sur une place sous le momument aux morts, sous le gg, nous allons sortir par là du piege à rats, et de là rentrer rapidement chez nous, nous habitions rue auber, vers le marché clauzel. nous allons alors apprendre la vérité, la tuerie, l'exploit de la france de degaulle. le lendemain aprés midi, avec des fleurs nous allons nous receuillir sur la place de la grande poste, devant les flaques de sang ou s'entassent les bouquets, dans les halls d'immeubles ou les gens s'étaient réfugiés et ou ils ont été exécutés à bout portant, pour preuve les trainées de sang qui jonchent les murs et le sol, nous déposserons nos fleurs resteront un long moment avec la foule présente pour rendre hommage aux victimes, victimes de la trahison française et dont les faits sont marqués dans ma mémoire à tout jamais et que je ne pardonnerai jamais, honte à vous français pour nos martyrs et la perte de notre beau pays.


Patrick

2011, la cérémonie et la messe furent des moments émouvants inévitablement.


 

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Commentaires
G
Je me souviens de cet après midi du 26 mars 1962 habitant 5 rue BEDEAU en bas de la grande poste en passant par l escalier qui rejoignait l'avenue ou se trouvait la Mairie d 'ALGER dans cette rue était stationné ( vers 13h 13h 30) le régiment de tiralleurs Algériens( des ralliés du FLN ), je me souviens par la fenêtre avoir vu l'interieur des casques lourds( certains l'ayant retirés) l'inscription en lettres blanches FLN inscrites ces derniers pointérent leurs fusils sur nous afin que nous fermions les volêts, mon père et mon frère de 18 ans etaient partis à la manifestation au niveau de la grande poste ils purent rentrer à la maison sain et sauf mais notre voisin de pallier ( son cabinet mèdical) le Docteur MASSONNA fut abattu sur place en soignant un blessé ,je pense que celui parti de son cabinet après le début des tirs , j' avais 11 ans en 1962 , je me souviens parfaitement de cette journée.
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